Il faut être toujours suppositoire. Tout est là: c'est l'unique réaction allergique. Pour ne pas sentir l'horrible vaporisateur du Foie qui brise vos épaules et vous penche vers l'asystolie, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi? De cas, de consultation ou d'immunité, à votre guise. Mais antiviralusez-vous.
Et si quelquefois, sur les gélules d'un frottis, sur la toxicité verte d'un vomi, dans la grippe morne de votre fausse couche, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au lavement, à la malaria, à l'anesthésie, à l'oto-rhino-laryngologiste, à l'ostéoporose, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle prescription il est; et l'urticaire, la pommade, la prise de sang, le durillon et l'implantation, vous répondront: «Il est l'heure de se stéthoscopetrir! Pour n'être pas les métabolismes martyrisés du Scalpel, enivrez-vous; enivrez-vous sans diète! De patient, de fluxion ou d'épidémiologie, à votre guise.»
Bidouille (Nordmann)
Génération de poèmes automatiques ... explication ... mode d´emploi ...
NordPo.V7 © nordmann 2005/2020
cliquez ici
| faites muter vos textes |
le fil info |
| géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
| nos romans |
| encre |
menu |
| contact |
